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La Guitare Classique
La Guitare classique est un
instrument à cordes pincées.
On doit sa forme actuelle à
un
charpentier qui se converti à
la
lutherie : Antonio de Torres
Jurado, qui vécut au XIX
e
siècle.
La guitare est un instrument
très ancien. Ainsi, on a
retrouvé la gravure d’un
instrument ressemblant à la
guitare sur des plaques
d’argile dans les ruines de
Babylone, datant de 1900 à
1800 avant J-C. D’aucuns ont même émit l’idée qu’elle aurait pu
être inventée par le roi David, roi d’Israël qui vécu il y a 4000 ans.
Ils se servent pour cela d’une indication qu’on peut lire dans les
Psaumes de la Bible : “sur un instrument à 10 cordes”. Bien
entendu, rien n’est moins sûr !
Toujours est il, que la guitare n’a pas toujours eu 6 cordes. De
nombreuses versions avaient bien 10 cordes, qui étaient en fait
regroupées deux par deux, chaque paire étant accordée à la même
note pour donner un peu plus de puissance à l’instrument qui était
vraiment faible. Pendant des siècles la version la plus courante
était une guitare avec 4 cordes ou 4 chœurs (4 doubles cordes).
D’ailleurs, elles seraient à l’origine du mot “guitare” (de l’ancien
perse :”chartar” littéralement
quatre cordes).
Au X
e
siècle, les Maures
introduisirent leur guitare en
Espagne. La “Guitarra morisca”
était ovale et comportait plusieurs
rosaces sur le dessus.
Dans la même période, apparut la
“Guitarra Latina”. Elle était
caractérisée par des côtés courbés.
On pense qu'elle est arrivée en
Espagne d'un autre pays européen.
C'est ce type de guitare qui, sans
doute, est à l'origine de la guitare moderne.
Jusqu'au Moyen Âge, une grande partie des connaissances sur la
guitare et son évolution était déduite d'œuvres, d'écrits, de
peintures et de sculptures. Il en découle beaucoup d'inexactitudes.
Au début du XVI
e
siècle, cependant, on trouve beaucoup plus de
fiabilité dans ces connaissances à cause de l'apparition
d'instruments qui existent encore aujourd'hui. Des guitares du
XVI
e
siècle apparaissent sous forme de vihuela de l'époque de
Luis Milan, de guitare Rizzio de France, de chitarra battente
d'Italie.
Au XVIII
e
siècle, la version 6 doubles cordes de la Chitarra
battente se généralisa, bien vite remplacées par 6 cordes simples.
Vers la fin de ce siècle, la guitare à six cordes simples avait
éclipsé tous les autres types de cet
instrument. Donc, la guitare à six
cordes était devenue la norme. La
rosace fut remplacée par un trou plus
grand, tandis que le manche fut
allongé et on lui adapta une touche
surélevée allant jusqu'à la rosace.
Vers 1790, le luthier français Pages
(luthier que Fernando Sor
recommandait) introduisit le barrage
en éventail. En 1820, Panormo en fit
aussi son standard.
C’est alors qu’entra en scène Antonio
de Torres Jurado. Il attachait
beaucoup d’importance à la caisse de
résonance dans la qualité de son produit. Il donna donc à la
guitare la forme que nous lui connaissons aujourd’hui. Il a
perfectionné le barrage en éventail, standardisé la longueur des
cordes à 65 cm, donné à la touche une largeur et une épaisseur
supérieures à celles qui se faisaient à l’époque et optimisé la
position du chevalet ; le tout pour donner à la guitare classique la
lettre de noblesse qui la rend si populaire aujourd’hui.
C’est la guitare qu’il faut choisir pour apprendre parce qu’avec ses
cordes en nylon, l’apprentissage sera moins douloureux pour les
doigts. De plus on la trouve dans différentes tailles, ce qui fait que
même de jeunes enfants peuvent commencer à jouer de cet
instrument. L’élève le plus jeune que j’ai eu était un petit garçon
de 5 ans.
Quelle taille choisir pour les enfants ? Les avis divergent.
Quelqu’un va conseiller telle taille de guitare en fonction de l’age
de l’enfant, ce qui n’est pas forcément logique quand on pense
que deux enfants du même âge peuvent avoir des tailles très
différentes. ainsi, j’ai connu des enfants de 5 ans à qui on aurait
facilement donné 8 ans et d’autres le contraire. J’ai même connu
une petite fille qui à l’âge de 10 ans mesurait 1m 10 (la taille
“normale” d’un enfant de 5 ans).
Il n’y a donc pas de règle précise, à part peut-être celle-ci : Il faut
aller en magasin de musique et essayer.
On définit la taille d'une guitare en fonction de son diapason.
En lutherie, le diapason désigne pour les instruments à cordes la
longueur vibrante de la corde, par exemple sur la guitare
classique, la longueur entre le sillet de tête et le sillet de chevalet.
A titre indicatif, voici un petit tableau pour aider :
Modèle diapason Taille
1/4 40-41 cm 105 à 115 cm
1/2 48-52 cm 116 à 134 cm
3/4 58-59 cm 135 à 145 cm
7/8 62-63 cm 146 à 160 cm
4/4 65 cm à partir de 160 cm
Encore une fois, il s’agit d’indications. L’important c’est qu’un
enfant ou un adulte se sente à l’aise avec son instrument. Il y a un
lien sentimental qui se crée entre le guitariste et sa guitare. Ceci
parce qu’on ressent la vibration de l’instrument qu’on tient tout
contre soi. Ainsi, j’ai connu une petite fille de 10 ans qui a mis 6
mois pour accepter de se séparer de sa guitare 1/2 et passer sur
une 3/4. C’est pourtant sa même mamie qui lui avait offert ses
deux guitares.
La Guitare Folk
I
l
est
impossible
de
parler
de
la
guitare
dite
«
Folk
»
sans
parler
de
la
dynastie «
Martin
»
En
effet,
la
guitare
Folk
n’aurait
peut-être
jamais
vu
le
jour
sans
les
innovations
de
Chistian
Fredrick
Martin
et
de
son
petit
fils
Frank Henry Martin.
C’est
donc
à
travers
la
dynastie
Martin,
que
nous
allons
tenter
de
résumer
l’histoire
de la
guitare Folk
.
Christian
Fredrich
Martin
,
un
luthier
allemand
qui
quitta
l’Europe,
s’installa
aux
États-Unis,
afin
d’échapper
aux
vexations
de
ses
collègues
autrichiens
qui
dénigraient
la
fabrication
des
guitares.
C'est
ainsi
qu'il
arriva
à
New-York
en
1833,
il
était
alors
âgé
de
37
ans.
Dès
son
arrivé
Martin
mit
tout
en
œuvre
pour
mener
à
bien
son
projet.
Il
créa
sa
première
échoppe
d'instruments
à
cordes
en
1833
à
Hudson
Street,
New-York.
Christian
y
produit
des
guitares,
des
violons,
des
mandolines
et
des
banjos.
Son
échoppe
lui
servait
d'atelier
de
production
et
d’expérimentations.
Ses
premiers
modèles
étaient
très
inspirés
des
meilleures
créations
de
son
ancien
patron
Stauffer
,
comme
par
exemple
la
tête
de
la
guitare qui était quasiment similaire à celle produite par Stauffer.
.
Au
bout
de
6
ans,
Christian
Fredrich
Martin
s’installa
dans
un
atelier
plus
grand
que
son
échope
New-Yorkaise
dans
la
petite
ville de Nazareth, en Pennsylvanie.
Pendant
2
ans,
il
se
contenta
d’améliorer
la
qualité
des
matériaux
de
ses
guitares.
Puis,
à
partir
de
1840,
il
découvrit
que
les
musiciens
de
sa
région
étaient
des
gens
modestes,
vivant
avec
peu
de
moyens.
Il
résolut
de
simplifier
ses
modèles,
ce
qui
lui
donna
plus
de
temps
pour
les
améliorer.
Le
goût
pour
la
simplicité
et
la
perfection
fut
unanimement
respecté
par
tous
les
prochains
luthiers
de
la
marque.
Ces
signes
distinctifs
se
retrouvèrent
sur
toutes
les
guitares
de
la
firme.
C'est
à
ce
moment
de
sa
carrière
que
Christian
Frederick
insuffla
les
plus
importantes
innovations
à
ses
guitares.
Ces
modifications
eurent
pour
effet
d'accroitre
le
volume
sonore
car
la
table
détenait
plus
de
superficie,
d'augmenter
la
qualité
des
guitares,
d'augmenter
la
robustesse
du
corps,
de
faciliter
les
vibrations
de
la
table
et
d'embellir
les
instruments.
En
plus
de
ces
innovations
Martin
instaura
un
nouveau
principe
de
barrage
ingénieux,
porteur
de
nombreuses
améliorations.
Ce
nouveau
barrage
fut
nommé
barrage
en
X
.
Ce
barrage
eut
aussi
pour
conséquence
de
permettre
à
la
table
d'harmonie
de
supporter
une
forte
charge
provenant
des
cordes
en
vibration.
Au
niveau
du
chevalet
une
pièce
de
bois
percée
de
six
trous
fut
rajoutée
en
dessous
de
la
jonction
du
X
afin
de
renforcer
encore
la
table
et
le
chevalet.
Cette
pièce
de
bois
fut
appelée
la
plaque
de
chevalet.
Toutes
ces
innovations
furent
inventées
entre
1840
et
1850
par
Martin.
Les
guitares
dotées
de
ces
innovations
étaient
parmi
les
meilleurs
du
monde.
Christian
Frederick
Martin
a
construit
un
empire
de
la
guitare,
qui
ne
cessa
de
s'accroitre
par
la
suite
et
qui
marqua
considérablement
la
lutherie
moderne.
Il
légua
son
entreprise
à
son
fils
à
sa
mort
en
1873.
Les
bases
de
lutherie
qu'imposa
Martin
furent
l'augmentation
des
dimensions
de
tous
les
composants
de
la
guitare,
le
placement
plus
haut
du
chevalet,
la
limitation
des
décorations,
l'augmentation
des
courbes
du corps, l'affinement de la taille et le renforcement des barrages.
S
on
fils,
Christian
Frederick
MARTIN
Junio
r,
se
contenta
de
commercialiser
les
produits
de
son
père
et
ne
créa
que
quelques
modèles sans grande innovation.
Il
laissa
rapidement
sa
place
à
Frank
Henry
Martin
.
Malgré
sa
jeunesse,
le
nouveau
dirigeant
joua
un
rôle
considérable
dans
le
développement
de
la
célèbre
marque.
Il
fut
notamment
l'initiateur
de
modèles
mythiques
et
l'éclaireur
de
directions
qui
furent
très
propices à l'entreprise.
En
1920
,
Frank
Martin
décida
d'introduire
l'acajou
dans
la
construction
des
tables
d'harmonie.
Cette
essence
de
bois
améliora
considérablement
la
brillance
et
l'équilibre
de
la
guitare.
Toujours
dans
l'objectif
de
dévier
les
musiciens
du
banjo
et
de
la
mandoline,
Martin
a
produit,
à
cette
époque,
une
large
gamme
de
guitares
munie
d'un
manche
étroit,
d'un
diapason
plus
long
et
de
14
cases
hors
caisse
baptisée
OM
,
abréviation
de
Orchestra
Model
.
Cette
gamme
connut
un
large
succès
et
attira
en
masse
des
banjoïstes
et
des
mandolinistes.
.
A
la
suite
de
la
gamme
Orchestra
Model
,
Frank
Henry
lança
une
innovation
qui
marqua
l'existence
de
la
guitare
folk.
Le
luthier
s'inspira
d'un
prototype
crée
en
très
petite
quantité
dans
l'usine
de
Boston
en
1916
par
ses
luthiers
pour
créer
le
premier
modèl
e
de
Dreadnought
en
1931
.
Le
terme
Dreadnought
provient
du
nom
de
famille
d'un
cuirassé
de
la
première
guerre
mondiale.
Ces
Dreadnought
devinrent
rapidement
des
modèles
du
genre
pour
les
constructeurs
qui en masse se mirent à produire ce type de guitare.
Dans
les
années
30,
sentant
le
bon
filon,
d’autres
luthiers,
dont
Gibson
,
se
lancent
à
leur
tour
dans
la
fabrication
des
guitares
acoustiques,
dites
folk.
Gibson
sortira
la
Jumbo
,
guitare
aux
formes plus arrondies que la
Dreadnought
et plus puissante.
Aujourd’hui,
la
Dreadnought
et
la
Jumbo
sont
devenues
les
standards
de
la
guitare
Folk
.
On
choisira
la
Jumbo
pour
ses
rondeurs
et
sa
puissance,
mais
si
on
est
adepte
des
pickings,
la
Dreadnought
sera certainement plus appropriée.
La Guitare Électrique
Depuis 1910, la radio se développait grâce aux premiers
postes à galène. Quelques années plus tard, les laboratoires de la
compagnie Bell mettaient au point le premier microphone. Il
devenait possible d'enregistrer, de transmettre et de reproduire
des sons sous forme d'ondes électriques. Un micro, un ampli, un
haut-parleur et n'importe quelle voix de basset pouvait couvrir un
hall de gare. Pourquoi ne pas appliquer la recette à la guitare, se
dit en 1923 un certain Lloyd Loar. Cet ingénieur travaille alors
chez Gibson, une des principales fabriques américaines
d'instruments de musique.
Les premiers prototypes voient le jour les années suivantes à
l'usine de Kalamazoo (Michigan). Principe: un petit microphone
collé sous la table d'harmonie recueille le son de la guitare, puis
le transmet via un câble, à l'amplificateur. Sur le papier, cela
marche. Mais bonjour la douche froide à la première écoute! La
guitare ainsi amplifiée sonne de telle manière que les cheveux
des dirigeants de Gibson se redressent sur la tête. En attendant
de sérieux progrès sur les microphones, les recherches sont
abandonnées et Lloyd Loar est remercié (Quelle erreur !).
Il faut attendre 1931 pour qu'une guitare électrique soit
commercialisée. Le premier fabricant à se lancer dans l'aventure
est un Californien immigré de Suisse, Adolph Rickenbaker.
L'histoire ne sera pas ingrate, Rickenbaker est aujourd'hui
encore l'une des marques les plus prisées des guitaristes. Le
modèle original, mis au point par un musicien, Georges
Beauchamps, et un ingénieur, Paul Barth, est loin du design des
futures stars du rock n’ roll. L'objet est baptisé "Frying Pan"
(poêle à frire) en raison d'un look qui semble prédisposé à la
confection de crêpes bretonnes.
La conception de la Frying Pan est cependant
révolutionnaire : en effet, contrairement au
prototype de Lloyd Loar, la poêle à frire n’a pas
de caisse de résonance. Son microphone
transforme les vibrations mécaniques des cordes
en électricité. Plus besoin de résonateur, la
guitare est alors toute plate. Aujourd'hui encore,
la Frying Pan s'admire au musée Rickenbaker de
Santa Anna.
Toujours est il que les guitaristes boudent cette
invention, habitués à avoir une caisse de
résonance sous le bras. Seuls des amateurs de
guitare hawaiienne, s'exprimant assis,
l'instrument posé sur les cuisses, adoptent la
création d'Adolph Rickenbaker. Les joueurs de
jazz vont attendre la guitare de compromis,
équipée de microphones à barrettes et d'une
caisse de résonance plus petite. Ces guitares
"électroacoustiques" ou "demi-caisses" sont
reconnaissables à leurs deux ouïes en forme de
"f" très effilé.
En 1932, un homme inventa le premier
micro électromagnétique. Ce grand
inventeur s’appelait Paul Tutmarc.
Bien qu’il fût en avance de plus d’une
décennie sur les autres acteurs du
marché de la musique électrique, son
entreprise fut un échec commercial
cuisant. Il ne put jamais déposer son
brevet de micro électromagnétique au
début des années 30, car l’entreprise
Bell avait la main mise sur
l’exploitation de l’induction depuis le
dépôt de brevet du téléphone en 1875
par Alexander Graham Bell. Et les instruments qu’il mit au
point ne remportèrent qu’un succès local (sa compagnie
Audiovox était située à Seattle) pour être vite oubliés.
Première demi-caisse, l'Electro-Spanish 150 de Gibson sort en
1938. Avec elle, Charlie Christian pose les premiers jalons de la
guitare moderne dans l'orchestre de Benny Goodman.
A partir des années 40, de nombreux luthiers
relancent la guitare plate dans le style de la
frying pan. Les musiciens de country
prennent le pas. La première "planche"
comme la surnomment ses détracteurs, est
fabriqué en 1948 par Paul Bigsby pour le
guitariste Merle Travis. Mais le vrai succès
commercial de la guitare pleine, solid body
en anglais revient à Clarence Leo Fender,
qui lance en 1950 la “Broadcaster”. Mais
Gretch a déjà breveté cette appellation, Leo
Fender rebatisera alors rapidement son
modèle en “Telecaster”. Cette guitare est
sobre, ses lignes sont belles, et elle est simple
à fabriquer en grande série. En 1951, Léo
Fender récidive en inventant la première
basse électrique: la Fender Precision. (voir la guitare basse).
Trois ans plus tard, arrive la grande sœur de la Telecaster.
Superbe innovation, la Stratocaster est équipée d'un vibrato,
sorte de tige métallique accrochée au cordier. En appuyant
dessus, le guitariste fait varier la hauteur des notes.
Gibson comprend son erreur en rejetant l’idée même de la solid
body et se lancera dans l’arène avec la solid body dessinée par
Les Paul qui donnera son nom à son modèle. Tout au long des
années 1950, sous l'impulsion de son président Ted McCarty, la
marque innove en concevant un certain nombre de productions
sous de nouvelles formes excentriques (Gibson Explorer, Gibson
Flying V, la Gibson ES-335 en semi-acoustique et plus tard la
Gibson Firebird), ainsi que de nouveaux micros dits «
humbucker ». En 1961, la Les Paul subit quelques modifications
ayant pour but de réduire le poids de l'instrument et d'améliorer
son ergonomie, ce qui aboutit à un nouveau modèle de la
marque, la Gibson SG, appelée tout d'abord « Les Paul SG »
Fin des années 60, un guitariste se déchaine sur scène avec sa
Stratocaster qu’il joue à l’envers étant donné qu’il est gaucher. Il
s’agit de Jimmy Hendrix. Cette fois les guitaristes sont
convaincus, on peut vraiment faire du spectacle avec une telle
guitare.
Aujourd’hui, les guitares Telecaster, Stratocaster , Les Paul et
SG sont les guitares les plus imitées au monde, la Telecaster
ayant battu tous les records de longévité.
Il y aurait beaucoup à écrire sur les guitares électriques. Il
faudrait aussi parler des guitares électro-acoustiques qui sont
arrivées dans les années 70 avec une innovation révolutionnaire
signée Ovation. Mais on ne voulait rédiger qu’un résumé, alors
on s’arrêtera là. Vous trouverez beaucoup de détails intéressants
sur plein de sites dont Wikipédia que vous connaissez sûrement.